samedi 22 octobre 2011

La dynamique de groupe restreint (Niveau" primaire"), développement de 1er Niveau

C'est l'ensemble des phénomènes, mécanismes et processus psychiques et sociologiques qui émergent et se développent dans les petits groupes aussi appelés groupes restreints, l'analyse et la description sont au centre de cette méthode qui permet de découvrir et de comprendre ce qui se passe dans les relations interpersonnelles ( au sein d'un groupe ou d'une assemblée de personnes), à la nature du goupe, à son fonctionnement, à ses effets. Grâce à cette analyse particulière, il est dès lors possible, dans les milieux professionnels par exemple, de faciliter la vie d'un groupe ,son expression et sa dynamisation par un travail en groupe,qui par rapport au travail individuel devient plus efficace.
- Amélioration légère de l'apprentissage disciplinaire
- Meilleure mémorisation à long terme
- motivation intrinsèque ( personnelle).
- attitude plus positive envers la matière étudiée.
- Développement d'objectifs de haut niveau (Taxonomie de Bloom ...http://www.supportsfoad.com/bloom/la_taxonomie_rvise_1991.html )

http://www.pedagopsy.eu/livre_anzieu_martin.htm

jeudi 20 octobre 2011

comprendre un peu mieux la psychologie institutionnelle...dite " secondaire "ou de 2ème NIVEAU

La spécificité de l’analyse institutionnelle pour approcher la réalité d’une institution, c’est d’avoir donné de celle-ci une définition dialectique et surtout d’en avoir proposé une analyse fondée sur l’intervention. L’analyse institutionnelle est donc à la fois une théorie et une pratique de l’institution qui prend sa place dans les courants de la recherche-action (action-research — R. Hess, La Sociologie d’intervention , 1981).

Elle est née en France vers 1943 sur le terrain de la psychiatrie, lorsque F. Tosquelles créa à Saint-Alban (Lozère) la thérapeutique institutionnelle pour lever les freins bureaucratiques qui pèsent sur les hôpitaux psychiatriques. Il fut relayé par Jean Oury et Félix Guattari à la clinique de La Borde à Cour-Cheverny, près de Blois, dans les années cinquante (J. Oury, Psychiatrie et psychothérapie institutionnelle , 1976; F. Guattari, Psychanalyse et transversalité , 1973). Cette expérience s’est située dès le départ au carrefour de la psychanalyse, de la psychosociologie et de la politique.

Entre 1958 et 1963, un courant pédagogique — s’appuyant sur les premières recherches institutionnalistes — émerge du mouvement Freinet sous l’impulsion de R. Fonvieille et Fernand Oury. Alors que ce dernier est plus influencé par la psychanalyse (F. Oury et A. Vasquez, Vers une pédagogie institutionnelle , 1967), R. Fonvieille et les membres du Groupe de pédagogie institutionnelle s’inscrivent dans une perspective plus politique et autogestionnaire (M. Lobrot, La Pédagogie institutionnelle , 1966; G. Lapassade, L’Autogestion pédagogique , 1971; R. Lourau, Analyse institutionnelle et pédagogie , 1971).

Entre 1964 et 1968, G. Lapassade et R. Lourau transposent le modèle institutionnaliste dans le domaine de l’intervention psychosociologique et sociologique. Se crée alors la socianalyse institutionnelle, forme de l’analyse institutionnelle qui se fonde sur l’intervention, celle-ci jouant un rôle de laboratoire en vue de la conceptualisation de l’analyse (G. Lapassade, Groupe, organisation, institution , 1966; R. Lourau, L’Analyse institutionnelle , 1970).

Alors que Cornelius Castoriadis a introduit en 1965 les concepts d’«instituant» et d’«institué» (L’Institution imaginaire de la société , 1975) permettant de «dialectiser» l’approche de l’institution, Lourau a travaillé essentiellement la question de l’institutionnalisation sociale, qui apparaît comme un «principe d’équivalence élargi» (R. Lourau, L’État inconscient , 1978) et M. Authier et R. Hess ont montré que l’on pouvait voir dans l’institution la tentative de définition (et donc la falsification ) d’un mouvement social initial (L’Analyse institutionnelle , 1981).

Ces recherches, qui ont pris de nombreuses formes, se sont largement diffusées, notamment en Europe, en Afrique et en Amérique latine. En s’institutionnalisant comme théorie, l’analyse institutionnelle a vu surgir à sa périphérie de nombreuses variantes. Citons, en France, à partir de 1971, le courant sociopsychanalytique (Gérard Mendel) et en Angleterre et, aux États-Unis, à partir de 1975, un courant anglo-saxon de l’institutional analysis dont la recherche vise à l’évaluation institutionnelle. Ces courants ont tendance à «dédialectiser» l’approche de l’institution. L’utilisation qu’ils font de ce dernier concept se rapproche de celles qui étaient faites par la philosophie du droit (Hegel, Hauriou, Renard), le marxisme ou la sociologie de Durkheim.

Les dernières recherches institutionnalistes s’organisent autour d’une analyse institutionnelle menée par les acteurs sociaux à l’intérieur de leurs propres établissements (analyse interne) et vers un approfondissement du concept d’«implication», c’est-à-dire de la relation que les acteurs sociaux entretiennent avec leurs institutions (collectif, L’Analyse de l’implication dans les pratiques sociales , 1983).
Source : 1997 Encyclopædia Universalis

http://1libertaire.free.fr/liensweb.html

http://1libertaire.free.fr/AnalyseInstitutionnelle07.html


Introduction
Première partie : Les théories institutionnelles
I. L’institution dans la philosophie du droit : 1. Repères – 2. Rousseau et le droit subjectif – 3. Hegel et le droit objectif – 4. Essai de synthèse : Hauriou et Renard .

II. Marxisme et institutions : 1. Position du problème – 2. Critique de la philosophie du droit – 3. La révolution et l’obstacle institutionnel – 4. La critique « institutionaliste » de Dardan .

III. Le concept d’institution en sociologie : 1. Systèmes de référence – 2. Des origines à Durkheim – 3. Durkheim – 4. L’institution comme instance imaginaire – 5. Crise du concept d’institution

Seconde partie : Les interventions institutionnelles
I. L’intervention psychanalytique : 1. Lien social et lien libidinal chez Freud – 2. Une conception post-freudienne – 3. La psychothérapie institutionnelle

II. L’intervention psychosociologique : 1. Statut épistémologique de la psychosociologie – 2. Points de vue psychanalytiques – 3. Critique sociologique – 4. Critique interne

III. L’intervention pédagogique : 1. L’intervention en psychopédagogie – 2. Une conception thérapeutique – 3. L’éducation négative – 4. La pédagogie institutionnelle

IV. Vers l’intervention socianalytique : 1. La situation analytique – 2. Le contre-transfert institutionnel de l’analyste – 3. L’analyseur

Conclusion – Postface – Bibliographie – Index
http://www.wallonie.be/fr/guide/guide-services/1137

dimanche 16 octobre 2011

Le psychologue animalier

Le comportementaliste est un professionnel spécialiste en psychologie comportementale : Au niveau de son intervention, le comportementaliste ne fait pas appel aux méthodes d'éducation ou de dressage traditionnel.

Son travail consiste à aider le propriétaire à changer son comportement vis à vis de son animal (chien et chat) . Il apporte son aide par l'intermédiaire de conseils qui permettent au propriétaire de faire une quantité de choses comme par exemple apprendre à créer de nouveaux comportements, d'éliminer ses difficultés (manque de confiance, peurs...).

Qu'il s'agisse de problèmes relationnels d'un animal avec un autre animal, un enfant, ou un adulte, le comportementaliste va utiliser les outils de la psychologie pour observer les attitudes du propriétaire et attirer son attention sur un point important de son comportement.

La psychologie lui donne la possibilité de savoir ce qu'il doit faire et comment le faire.

Le propriétaire reprend tout simplement confiance en lui, il peut ensuite agir concrètement.

Les débouchés sont nombreux ; aujourd'hui la profession de comportementaliste animalier est un véritable métier d'avenir.

La psychologie est aujourd'hui une méthode de connaissance de plus en plus recherchée.

vendredi 14 octobre 2011

La psychologie cognitive...

http://www.web-libre.org/dossiers/psychologie-cognitive,9430.html#4
ce site est protégé,à vous de l'ouvrir...