mercredi 9 février 2011

L'épilepsie...

Statistiques de la LICE
Crises partielles complexes = 40 % chez les adultes
Crises partielles simples = 20 % chez les adultes
Crises tonico-cloniques primaires = 20 %
Crises d’absence = 10 %
Autres = 10 %

l’épilepsie est un trouble qui se manifeste par des crises. Les caractéristiques et la fréquence des crises varient énormément. La terminologie médicale s’est par conséquent élargie de manière à désigner de façon plus précise les différents types de crises. Certains types frappent principalement, le plus souvent chez les enfants, alors que d’autres s’observent surtout chez les adultes.

L’épilepsie est un trouble grave et parfois assez effrayant. Elle peut grandement perturber la vie des personnes qui en sont atteintes de même que celle de leurs proches. L’une des premières étapes qui mènent à la maîtrise des crises est la décision de les reconnaître pour ce qu’elles sont. Il est possible qu’une personne épileptique connaisse plus d’un type de crise. Votre médecin/neurologue peut vous apporter une partie de l’information nécessaire.

Vous trouverez ci-dessous une vue d’ensemble qui vous aidera à comprendre les notions de base au sujet des crises. Le présent document est un simple guide et ne peut remplacer les conseils et l’information donnés par votre propre médecin. Vous trouverez à la fin de cette page des liens vous permettant d’obtenir plus d’information sur ces types de crises et d’autres.

Qu’est-ce qui se produit dans une crise?
Des cellules spéciales appelées neurones aident à former un réseau électrique et chimique dans le cerveau. Normalement, les signaux électriques se transmettent par la voie de ces neurones. Ils influent sur la libération de différentes substances chimiques qui influeront à leur tour sur l’activité électrique dans les neurones suivants. De nombreux facteurs externes et internes peuvent provoquer une activité anormale dans les signaux électriques de ces neurones. Un changement de l’activité électrique normale du cerveau peut provoquer une crise. Des crises répétées peuvent être un signe d’épilepsie. (Rappelons que si toutes les formes d’épilepsie se caractérisent par une forme ou une autre de crises, les crises ne sont pas toutes forcément des manifestations d’épilepsie.)

Classification

Le système moderne de classification des crises établit une distinction fondamentale entre les crises partielles et les crises généralisées. Si la décharge électrique excessive est restreinte à une région donnée (locale) du cerveau, la crise est dite partielle. Si la totalité du cerveau est touchée, la crise est dite généralisée.

Ce système moderne, la Classification internationale des crises d’épilepsie (CICE), a été élaboré par la Ligue internationale contre l’épilepsie (ILAE, http://www.ilae-epilepsy.org/ ) comme un moyen de catégoriser et de distinguer différents types de crises épileptiques. Pour plus d’information, voir : http://www.epilepsy.org/ctf/default.html
Avant de commencer notre survol des différents types de crises, nous devrions d’abord définir certains termes. Il existe de nombreuses causes différentes des crises d’épilepsie. Ces causes sont souvent dites idiopathiques, cryptogéniques ou symptomatiques.
Idiopathique signifie qu’on ne peut déterminer la cause du déclenchement des crises.
Cryptogénique désigne une cause inconnue, sauf que les médecins pensent qu’elle pourrait être reliée à une anomalie impossible à déterminer de la structure du cerveau.
Symptomatique signifie que la cause des crises est connue et que celle-ci peut être reliée à une lésion des structures du cerveau, à des troubles du métabolisme ou à d’autres causes connues.

Sachant cela, nous pouvons maintenant passer à la section suivante où les crises seront décrites. La terminologie médicale a établi de nombreux types de crises. Les types qui suivent sont les plus fréquents.

Crises partielles:
Celles-ci se caractérisent souvent pas une activité électrique anormale localisée dans une région du cerveau. Le résultat peut prendre la forme de mouvements involontaires ou de sensations inhabituelles (neurones sensoriels), ou encore de changements de l’attention ou du comportement.

Crises partielles simples (CPS – autrefois appelées crises focales):
Ces crises se caractérisent par des sensations étranges ou inhabituelles, par exemple des odeurs ou des anomalies visuelles. Parmi les autres caractéristiques des CPS, signalons des mouvements secs ou de l’agitation, une distorsion auditive, des maux d’estomac et un soudain sentiment de peur. Les crises partielles simples ne sont pas habituellement associées à des altérations de la conscience ou de la mémoire.

Comme nous l’avons dit plus tôt, les crises partielles ne touchent qu’une région du cerveau. Chaque région du cerveau est responsable de certaines fonctions de l’organisme, de certaines sensations et de certains mouvements. En observant les manifestations motrices et les réactions sensorielles durant une CPS, le neurologue pourra parfois déterminer quelle région du cerveau est touchée. Cela pourra aider à choisir les médicaments indiqués pour le traitement de l’épilepsie d’une personne.

La CICE a classé les crises partielles simples en quatre grandes catégories : motrice, sensorielle, psychique et autonome. Chaque catégorie comprend plusieurs types de CPS.

Crises partielles complexes (CPC – autrefois appelées crises psychomotrices ou du lobe temporal):
Les crises partielles complexes sont souvent précédées d’une « aura ». Elles se caractérisent souvent par une activité motrice et sensorielle compliquée. La personne peut sembler ahurie ou confuse – elle marche au hasard, marmonne, tourne la tête ou tire sur ses vêtements. Ces gestes idiosyncrasiques répétés sont souvent appelés automatismes et, habituellement, la personne n’en garde aucun souvenir. Les CPC peuvent s’accompagner d’altérations de la conscience ou de la mémoire.

Chez les enfants, ce type de crise ne devrait pas être confondu avec les crises d’absence décrites plus loin. Les CPC se déclenchent souvent dans les lobes temporaux ou frontaux du cerveau.

Crises généralisées:
Ces crises peuvent être convulsives ou non; elles entraînent habituellement une perte de connaissance. On observe une activité électrique anormale dans de nombreuses régions du cerveau.

Crises généralisées primaires
Crises généralisées secondaires
Crises d’absence généralisées (autrefois appelées petit mal):
Elles se caractérisent par une perte de connaissance complète. La personne peut fixer dans le vide et sembler rêvasser ou étourdie. Les crises d’absence ne sont pas précédées d’un avertissement (aura) et sont suivies d’une activité normale. La crise elle-même s’accompagnant de très peu de mouvement, elle peut souvent passer inaperçue par les autres.

Ces crises se produisent fréquemment chez les enfants. Elles peuvent cependant évoluer vers d’autres types de crises, par exemple des crises partielles complexes ou tonico-cloniques. (Les crises d’absence peuvent être difficiles à distinguer des crises partielles complexes. Les crises d’absence sont habituellement de durée plus brève qu’une CPC et la personne s’en remet plus rapidement.)

Normalement, les crises d’absence diminuent à l’âge adulte (contrairement aux crises tonico-cloniques ou de grand mal).

Il existe deux types de crises d’absence :
Crises d’absence typiques : non convulsives et le tonus musculaire est habituellement préservé. L’événement critique dure habituellement moins de 10 secondes.
Crises d’absence atypiques : durent plus longtemps que les crises d’absence typiques. Elles peuvent ou non s’accompagner de perte de tonicité et des mouvements quasi tonico-cloniques sont souvent observés.
Crises tonico-cloniques (autrefois appelées grand mal):
Une convulsion généralisée se produisant en deux phases. Dans la phase tonique, on observe un raidissement des muscles, la personne perd connaissance et tombe et le corps se raidit. Dans la phase clonique, les membres s’agitent et se contractent. La crise se termine souvent par une autre phase tonique. Après la crise, la personne reprend lentement connaissance. Lorsqu’elle se réveille, elle est souvent confuse ou désorientée.

Ce type de crise, probablement le plus couramment associé à l’épilepsie par le grand public, n’est nullement le plus fréquent. Les deux tiers environ des personnes épileptiques souffrent de crises complexes partielles.

Une crise tonico-clonique généralisée secondaire commence localement (par une crise partielle) et elle peut être précédée d’une aura.

État épileptique :
Décrit une série de crises répétées entre lesquelles la personne ne reprend pas connaissance. Si la crise ne prend pas fin après cinq ou dix minutes, appelez pour obtenir de l’aide. La personne risque de tomber en état épileptique, ce qui peut mettre sa vie en danger. Il est recommandé d’appeler du secours en cas de tout événement critique qui semble différent des crises habituelles d’une personne ou qui est d’une durée anormale. De tels événements requièrent des soins médicaux immédiats, car ils peuvent entraîner des lésions cérébrales graves ou même la mort.

Pour ramener la personne à un état normal, des benzodiazépines comme le diazépam ou le lorazépam (voir la section sur les médicaments) peuvent être administrés par l’hôpital.

Il existe de nombreux déclencheurs potentiels d’un état épileptique. Dans de nombreux cas, aucun déclencheur évident ne peut être déterminé avec certitude. Il est bon de discuter des déclencheurs potentiels avec votre médecin, puisque ceux-ci varient d’une personne à une autre.

Crise myoclonique:
Ce type de crise ne provoque pas de perte de connaissance. Les crises myocloniques sont souvent associées à des contractions brusques simples ou répétées des muscles (myoclonie). Elles sont principalement observées chez les jeunes enfants et les nouveau-nés, étant plus rares chez les adultes.

Crise atonique:
Souvent appelées crises avec chute. Ces crises se caractérisent par une perte soudaine de tonicité, créant une incapacité de se tenir debout ou assis (elles sont aussi appelées crises akinésiques). Les crises atoniques sont habituellement rares chez les adultes.

Les crises atoniques sont souvent observées chez les enfants atteints du syndrome de Lennox-Gastaut (lien à la section Lennox-Gastaut). Les crises elles-mêmes sont peu dangereuses pour l’enfant, la plupart des blessures résultant de chutes survenant à la suite de l’événement lorsque l’enfant perd de son tonus musculaire. Pour aider à prévenir des blessures graves, certains parents peuvent choisir de faire porter un casque protecteur à leur enfant et de restreindre sa participation à certaines activités si celui-ci est sujet à des crises atoniques.

À noter : les crises astatiques comportent une perte de tonicité entraînant une incapacité de se tenir debout. Les crises atoniques ne s’accompagnent pas toujours d’astasie.

Autres crises:

Crises photosensibles :
Vous observez sans doute souvent des signaux sur des appareils électroniques ou d’éclairage (lumières stroboscopiques, p. ex.) ou dans des jeux vidéo. Ces jeux et appareils sont parfois accompagnés d’un avertissement indiquant qu’ils peuvent provoquer des crises d’épilepsie photosensibles.

Les crises photosensibles sont rares, même chez les personnes épileptiques (moins de 5 %). Elles ne constituent pas un type distinct de crise, mais résultent plutôt d’un stimulus lumineux qui peut mener au déclenchement d’une crise. Les crises photosensibles sont souvent classées parmi les « épilepsies réflexes ».

Elles se produisent habituellement chez les jeunes âgés de 8 à 20 ans, la fréquence la plus élevée se situant à la puberté. Elles peuvent être provoquées par la lumière tant naturelle qu’artificielle – par des patrons lumineux alternants ou changeants.

Pour réduire les risques, il est conseillé aux enfants et aux adultes sujets aux crises photosensibles de s’asseoir à plus de 2 m d’un téléviseur, en raison de la fréquence de rafraîchissement des écrans de télévision. L’incidence des crises photosensibles provoquées par la télévision est plus faible en Amérique du Nord qu’en Europe, en raison des différentes fréquences de rafraîchissement, mais les personnes épileptiques devraient néanmoins demeurer prudentes. Les moniteurs d’ordinateurs posent très peu de risque de crises photosensibles. Il existe deux types de moniteurs, les moniteurs TRC (tube à rayons cathodiques) et ACL (affichage à cristaux liquides). La plupart des écrans TRC ont des fréquences de rafraîchissement supérieures à 70 Hz (70 images/seconde). Les écrans ACL n’ont pas de rafraîchissement plein écran et peuvent dans certains cas être préférables pour les personnes photosensibles. Toutefois, comme la plupart des gens utilisent des écrans de modèle récent, le problème des crises photosensibles est plus relié aux logiciels qu’aux écrans eux-mêmes. Les jeux sur ordinateur et d’autres programmes comportant des lumières clignotantes et des patrons lumineux changeants peuvent déclencher une crise.

Syndromes épileptiques :
Spasmes infantiles/syndrome de West:
Observés chez des nouveau-nés épileptiques de moins de 12 mois. Les spasmes peuvent se produire comme des événements uniques ou en grappes – chaque spasme étant très bref (1-3 secondes). Souvent, le bébé semble hocher la tête – comme s’il fléchissait et tendait la tête ou le torse d’avant en arrière (on parle parfois du tic de Salaam). Les spasmes infantiles se produisent lorsque l’enfant dort ou est sur le point de s’endormir ou à son réveil. Le bébé peut lancer un cri après le spasme, ce qui peut souvent être interprété comme un signe de colique.

Les spasmes infantiles sont soit cryptogéniques (aucune cause connue), soit symptomatiques (cause connue). Il existe de nombreuses causes différentes des spasmes infantiles symptomatiques.

Les spasmes infantiles sont souvent observés chez les enfants atteints du syndrome de West. À souligner : bien que les spasmes infantiles soient souvent confondus avec le syndrome de West, ils ne sont pas toujours reliés à ce syndrome. Le syndrome de West a été décrit pour la première fois en 1841 par un médecin anglais qui avait observé des symptômes de spasmes infantiles chez

Syndrome de Lennox-Gastaut:
Le syndrome de Lennox-Gastaut touche les enfants âgés de 1 à 8 ans et principalement les garçons. Il se caractérise par des crises fréquentes et souvent violentes. Certains des types de crises associés à ce syndrome sont les crises toniques, atoniques, d’absence atypiques et myocloniques ainsi que l’état épileptique. On a observé un état épileptique chez environ 50 % des enfants atteints du syndrome de Lennox-Gastaut.

Comme le syndrome de West, le syndrome de Lennox-Gastaut se divise en deux types : cryptogénique et symptomatique. Les enfants atteints du syndrome cryptogénique constituent environ 30 % des cas et ne semblent pas présenter d’anomalie cérébrale. Les cas de syndrome symptomatique forment le reste (70 %) de la population et il semble qu’il existe chez ces enfants une lésion cérébrale sous-jacente.

Les causes de ce syndrome sont diverses. Parmi les causes possibles, on peut citer un traumatisme crânien ou une malformation, une infection au cerveau, l’hérédité et de nombreux autres facteurs inconnus (particulièrement s’il s’agit du syndrome cryptogénique). Bon nombre des enfants atteints du syndrome de Lennox-Gastaut souffrent d’un retard du développement ainsi que de nombreux problèmes de comportement.

Jusqu’ici, il n’existe aucun moyen de guérir le syndrome de Lennox-Gastaut. On trouve souvent chez ces enfants une fréquence de résistance aux médicaments plus élevée que chez les autres enfants épileptiques. Ils doivent souvent suivre une polythérapie médicamenteuse. Le régime cétogène est souvent recommandé pour les enfants atteints du syndrome de Lennox-Gastaut comme moyen ajouté aux médicaments prescrits pour maîtriser leurs crises d’épilepsie.

Autres syndromes épileptiques:

Spasmes fébriles
Épilepsie myoclonique juvénile (EMJ)
Épilepsie rolandique bénigne (ERB)
Il existe de nombreux autres types de crises (épileptiques et non épileptiques), le survol qui précède n’est nullement exhaustif. Nous avons uniquement décrit les types les plus fréquents.

http://www.ilae-epilepsy.org/
http://www.epilepsy.org/ctf/seizure_frame.html
La Ligue internationale contre l’épilepsie (ILAE) a été créée en in 1909. Elle a pour objectifs :

de faire avancer et répandre les connaissances sur l’épilepsie
de promouvoir la recherche, l’éducation et la formation
d’améliorer les services et les soins aux patients, particulièrement au moyen de la prévention, du diagnostic et du traitement
Pour obtenir de l’information additionnelle : lisez la brochure d’Épilepsie Canada: Crises d’épilepsie et premiers soins

dimanche 6 février 2011

L'icônisation ...

Les icônes ont pour but de rassurer et de réconforter le présent, de ne pas déranger son auto-satisfaction et c'est ce qui offre son origine plutôt comme un défi à réfléchir sur les insuffisances et legs hérités du corrompu. Dans notre présent le système juridique est une idéologie, celle de l'icônisation est de faire de ces Itinéraires humanitaires des courants philosophiques liés à la politique ou à une masse en particulier. Elle existe aussi dans le cinéma comme le modèle du super héro. Dans la photographie, en l'expression la plus simple de la luxure. Elle fabrique de Grands Hommes, de grands scientifiques et se sert de la détresse humaine pour conditionner les choix personnels de ses sujets , la psychologie au centre de l' action iconique, s'en tient à manipuler les masses, les foules, les personnes. L’icônisation existe pour d'autres opérations que nécessitent la communication (médias,TV, ordinateur, publicité mais aussi aux patrons de magasins complice de cette surenchère de surmédiatisation, repassant en boucle la musique de la dernière "icône " à la mode dans un même but de conformisme...)le processus d'identification jouant le rôle majeur :
- nous envions la personne,nous voulons être, nous devons être,et paraître... Au pire c'est un processus qui s'appuie sur les courants de pensée négative et qui canalise vos pensées de façon à les rendre idylliques et agréables aux yeux de la plus grande majorité de la population, il implique la décharge des sens par exacerbation de sentiments.Le monde y est représenté comme sensible, vulnérable sans défense. La vérité , c'est que le monde possède encore les moyens de se défendre mais l'humain présenté sous sa forme parasite dénaturera l'image de l'homme lui-même... ,les grands thèmes sont vu et revu et mettent en cause l'avéré et l'inaccessible moi à tous, éveillé de conscience mortifère à certains moment de notre vie. Evidemment que cela nous interpélera, qui n'aurait pas envie d'un monde de rêve, mais ce n'est pas accepter la réalité que de vivre l'idéalisation puis ce n'est ni la vérité , ni le charme du locuteur avancé d'histoire , ni l'outrance de la société qui reste la priorité de nos démons personnels et internes à nos existences dans les moments extrêmes de notre corps et de notre personne.
La vie est faite de proximité.. et confiné de notre propre univers, et elle répond tout à fait à nos exigences de réconfort...l'être humain n'est pas un surhomme et sera toujours confrontés à lui même et à ses colères, fussent-elles justes ou non!
Enfin! Il est arrivé dans l'histoire que les théories du conformisme de Asch,Shérif,... Milgram (...) soit utilisées et appliquées, et qu'avec l'aide la presse, des Etats assiégés ; pour calmer et canaliser les foules égarées par la guerre ;pour recruter; remotiver ;" capturer" les pensées et faire suivre les plus récalcitrants par suggestions ouvertes ou non..., méthodes simplifiées, pratiquées lors des discours de propagande politique ou d'oppositions.
Une autre problématique réside dans le fait que beaucoup de citoyens n'arrive plus à faire confiance..., roulé sans cesse dans la farine pendant que leurs leaders affichent l'oppulance, la richesse, et plus obscènes par leur ventripotence les uns que les autres. Certains commettent des injustices..., voire "quelques" crimes contre leur propre peuple ou l'existencialité elle-même devient inexistante.Cela n'arrange rien aux stigmates déjà observés. Ces citoyens vivant déjà dans l'injustice, dans l'angoisse et dans la crainte de manipulations malsaines....ou pire encore dans la crainte du lendemain ne peuvent que finir par se rebeller, mourir de faim, désespérer! C'est aux dirigeants à se montrer au plus proche de ce peuple, seule façon de croître avec lui, afin de le comprendre, de l'aider et de chercher du soutien auprès d' autres nations. Dur métier que celui de chef d'Etat !
Personnellement, j'espère donc comme beaucoup d'entre nous à l’apaisement de ces foules,à une meilleure gestion des patrimoines mais surtout un vrai sens de l'éthique(moral)de leur part...et ça c'est une fameuse histoire!


Extraits et articles 2011- Junius Astrid.
CONFERENCES THERAPEUTIQUES ET SYMPTOMES
http://www.argos2001.org/confgayplan.html