lundi 13 septembre 2010

L'état de crise, cause à effet...

Trop de discours comprometteurs de la part des politiciens et l'infuence des médias , enveniment et créent les comportements négatifs, un phénomène processus d'insécurité  peu apparaître... La priorité est de sécuriser la population,  la survie des plus démunis (ou non) doit se placer au centre de chaque évènements, comme par exemple  l'auto-régulation . Une régulation de masse ,  peu éveiller des questions identitaires. Sans expliquer le rôle des  pôles médiateurs sociaux   et politiques , le risque de syndromes collectifs et plus important, des crises d'angoisses, compulsivités , hystérie collective, paniques, crimes , châtiment défensifs, et même sur-victimisation sont de tel syndrome identitaires qu'ils poussent à une reconnaissance en tant que victime de la société. Le système devient cible et le citoyen plus belligérant.

 Les institutions tel que la Justice, la médecine le système pénal, les religions, sont mis en ligne de mire ...( Parfois même certains thérapeutes  sont considérés comme  " profiteur de misère"....) Bien sûr qu'il y a la misère mais n'est telle pas accentuée par toutes les propagandes politiques . Quelles soient populistes , sociales , écologistes ou de l'un ou l'autre parti uniquement dans un but "d 'éligible citoyen"  se portant garant de notre bonne morale. En fait, La morale de la masse est proprement devenue une bataille individuelle et individualisante , en ces termes, ou égarement, la recherche de stabilité politique , sociale et non de socialité passera , peut-être, parfois prioritairement pour le citoyen au détriment de son environnement familier , une déception identitaire pourrait devenir sous-jacente à certains moments de  vie quotidienne . Sans le soutien de nos hommes politiques expérimentés, la crise est pour certains source d'angoisses et de gravités . C'est pourquoi le discours est fondamental pour tout citoyen , un simple et un vrai gagne pain. Attention de ne pas devenir votre propre laboratoire  politique ou thérapeutique !


Junius Astrid Mémoire 2010

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