lundi 26 juillet 2010

La rancune...

Que ce soit une petite offense, un affront, une grande blessure, … pour certaines personnes rien ne passe et elles conservent indéfiniment une dent contre ceux qui les ont offensés, blessés, peinés… Elles gardent rancune et reproche ad vitam æternam une ou plusieurs choses impardonnables (à leurs yeux ou selon leur réalité) ou vont jusqu’à couper les ponts avec ceux qui leur ont fait du tort, tandis que d’autres boudent indéfiniment, car souvent à leurs yeux, le geste est irréparable et aurait pu être évité.

La rancune n'apporte rien de bon et laisse une sensation désagréable, un goût amer. L’être humain ne préfère-t-il pas les sensations agréables, goûter le bonheur et vivre une vie saine? Bonheur et rancune sont-ils compatibles? Douteux!!! Pour profiter sainement de la vie, ne vaudrait-il pas mieux se  débarrasser de tout ce qui nous encombre, de ce qui est négatif et qui nuit à notre plein épanouissement?

La rancune, ce qu’elle est, la reconnaître, ses conséquences ou ses effets, s’en débarrasser…C’est ce que je vous propose dans cette bulle.

La rancune

Tout d’abord, allons-y avec les dictionnaires pour trouver définitions, synonymes et contraires.

Définition : du bas latin rancor, état de ce qui est rance, et cura, soin, ressentiment tenace, sentiment d’animosité, souvenir mêlé de haine que l'on garde d'une offense, d'une injustice, et qui s'accompagne d'un désir de vengeance, souvenir mêlé de haine que l'on garde.

Synonymes : animosité, antipathie, haine, hostilité, rancœur, ressentiment

Contraires : bienveillance, bonté, générosité, magnanimité, pardon.

La rancune, émotion négative, est une colère qui contient un désir de vengeance qui peut être très vif et contient une part d'indignation, d’insatisfaction… en fait, nous sommes fâchés et cela nous semble impossible de pardonner à l’autre. La rancune se caractérise aussi souvent par l'absence de contact expressif direct avec celui qui est l'objet de la colère.

Une rancune n'est probablement pas raisonnable. Elle utilise des rationalisations de faux raisonnements pour mettre un voile sur ses vraies motivations; c'est une façon d'utiliser les mots à des fins de justification.

La rancune provient d’un fait vécu comme une véritable injustice par soi-même ou par une autre personne et s’appuie en général sur un préjudice. Elle fait souvent suite à un affront, une déception douloureuse, une profonde désillusion, une blessure… causé ou fait par une ou plusieurs personnes consciemment ou non. Nous pouvons donc éprouver de la rancune envers une personne en particulier ou envers un groupe de personnes ou en vouloir au monde entier. C’est une émotion vivace que l’on peut réveiller et entretenir à tout moment et qui constitue une impasse relationnelle. La rancune est alimentée par le caractère inacceptable ou intolérable de son origine et peut être ravivée et augmenter en intensité si nous évoquons la ou les personnes (les événements) qui en sont la source.

Ce qui cause cette rancune peut avoir différentes sources anodines jusqu’à très graves (pour la personne rancunière, tout peut être sujet à rancune) : une parole désagréable, un dénigrement devant d’autres personnes, une agression (physique, sexuelle, verbale…) homicide, meurtre, viol, désaccords concernant la famille, un terrain, un accident, des blessures occasionnées par un incident ou un accident, un comportement contraire à nos valeurs, un mensonge, un oubli, une hypocrisie, un regard, un geste….

La personne rancunière

Définition : une personne qui manifeste de la rancune, qui garde facilement rancune, qui n'oublie pas les offenses, les injustices subies.

Synonymes : haineux, vindicatif, contraires : bienveillant, bon, indulgent, magnanime, oublieux.

La personne rancunière cultive ces sentiments négatifs, se percevant comme la personne qui a été brimée, blessée et qui est victime. Elle verra donc la rancune chez tous les autres, parfois même en ne la reconnaissant pas chez elle-Elle conserve sa rancune, elle entre dans un rapport de force : elle ne plie pas devant les événements, continue à refuser ce qui s’est passé.

Pour certains, la rancune peut être une façon de se protéger. En gardant en mémoire les fautes passées, on espère éviter de se faire blesser à nouveau. Ce mécanisme de protection peut se reporter d'une relation à l'autre. Une simple parole, une situation ou un geste qui semble anodin peut raviver une blessure qui nous vient d'une relation passée, voire même de l'enfance. La réaction vive peut alors surprendre et dérouter.

Pour d'autres, la rancune est un moyen de s'affirmer et d'établir ses limites. Elle témoigne d'une certaine force de caractère. Pardonner peut alors être perçu comme de la faiblesse et non de courage Qui n’a pas déjà entendu : Je ne suis pas rancunière, j'ai de la mémoire!!

La personne rancunière pollue sa vie et celle des autres en jouant à la victime, en ayant des comportements ou en émettant des commentaires qui affligent, consternent ou attristent l’entourage. Et l’on entend : s’il peut payer assez ou s’il peut lui arriver malheur… regarde, il a fait ou dit cela, c’est voulu, c’est rien qu’un…

Les conséquences ou les effets de la rancune

Elle peut être dangereuse pour l'équilibre psychique et mental et pour la santé physique. Elle appelle à la vengeance pouvant aller de la simple arrogance jusque qu'à l'homicide dans certains cas extrêmes. Elle empoisonne l’esprit, la vie et tout autant le corps en rendant la personne désagréable, malade et laissant une aura négative tout autour d’elle.

Lorsque nous intériorisons quelque chose, cette chose devient une partie de nous-même. Ce ne sont donc pas ceux qui nous ont fait du tort qui sont punis avec cette énergie destructrice mais la personne rancunière elle-même! C'est la raison pour laquelle ceux qui nourrissent des rancunes pendant des années deviennent malades, stressés et amers au point de ne plus être capables de profiter de la vie. Comme toute toxine physique, l'énergie de la rancune se loge principalement dans le côlon où elle couve lentement, empoisonnant progressivement tout l'organisme.

Selon la psychologue  Michelle Larivey, la rancune et le ressentiment – dont les mécanismes prennent racine dans la petite enfance, lorsque les parents n’autorisent pas l’expression du mécontentement –servent à maintenir la force de la colère et du lien émotionnel avec une expérience passée. En même temps, cette fidélité à cette expérience négative maintient dans une position de fermeture aux autres et interdit tout nouveau contact qui pourrait être réparateur.

Autrement dit, une rancune peut créer un surpoids d’angoisses, de malaise, de mal-être… Des études sur les émotions négatives le confirment : la rancœur et le ressentiment favorisent la dépression, les troubles anxieux, le stress, les maux de tête, les troubles du sommeil… Ce que disent aussi ces mêmes études, c’est que réussir à se débarrasser de nos colères intérieures améliore le niveau d’énergie, le sommeil, le rythme cardiaque…

Si l’émotion est de la colère avec rancune, on peut noter une réaction d’adaptation de notre corps mettant en jeu l’hypophyse et les glandes surrénales. Trop de sécrétion par nos glandes surrénales amène la dégradation des protéines du système immunitaire, des muscles, des os et des vaisseaux sanguins. Parmi d’autres troubles, notons une élévation de la tension artérielle, une prise de poids par augmentation de l’apport calorique liée à la dégradation des protéines et surtout une baisse des défenses immunitaires. En général, on peut considérer que la réponse à un stress qui serait de nature négative, entraîne un déséquilibre interne de notre organisme. Ceci induit une réponse inadaptée qui fragilise l’organisme face aux infections, à notre capacité de digestion et par le fait même, d’absorption, etc.

Le cancer[1] est la maladie d’une grande rancune, voire même de la haine, entretenue par une personne envers un de ses parents depuis son enfance. Cette rancune est une réaction tout à fait normale et humaine pour un enfant qui s’est senti rejeté ou abandonné et qui a souffert seul sans personne pour le consoler. Cette personne continue de souffrir dans l’isolement, car elle a appris qu’il est très mal d’en vouloir à un parent, donc elle préfère nier sa souffrance. C’est le genre de personne qui affirme fortement qu’elle n’en veut absolument pas à un parent, car sa mère ou son père a fait son possible et n’avait pas le choix de réagir de la sorte. Cette rancune non exprimée la gruge de l’intérieur et finit par se manifester par un cancer.

La colère ronge les artères[2]. Selon des chercheurs un tempérament colérique augmente le risque d'être victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC). Lors d’une étude, des personnes se sont remémoré des souvenirs blessants en imaginant deux issues différentes : la rancune et le pardon. Les chercheurs ont ensuite mesuré la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la transpiration des sujets et comparé les résultats obtenus par la rancune et le pardon. La fréquence cardiaque et la pression artérielle étaient deux fois et demie plus élevée avec la rancune et la transpiration plus importante, signe que leur système nerveux était en état d'alerte. Avec le pardon, les personnes se sentaient calmes et en contrôle.

On peut, en toute logique, penser qu'à long terme, les effets «secondaires» de la rancune pourraient nuire gravement à la santé et ceux du pardon l'améliorer.

Se débarrasser de la rancune

La rancune est une pulsion mortifère, une hypnose douloureuse dont on ne peut sortir que par un passage à l'acte. Celui-ci joue un effet de catharsis plus ou moins violent selon que la personne est capable de distance ou de symbolisation ou pas du tout.

La  colère, issue de la rancune, est souvent traitée comme un manque de maîtrise et non comme une énergie utile pour vaincre un obstacle sérieux. Pourtant, la colère indique que l’organisme a décelé la présence d'un obstacle.

Nous essayons souvent de trouver une solution en intériorisant celles et ceux qui nous ont fait du tort (directement ou indirectement) puis nous les punissons en les bombardant (intérieurement) d'énergie négative et destructrice. Cette énergie négative et destructrice nous fait beaucoup plus de mal à nous, elle nous gruge, nous détruit… et souvent l’autre et les autres s’en fichent éperdument ou n’en sont même pas conscients.

Lorsque nous nous sentons en colère ou lorsque notre niveau d'anxiété est très élevé, nous avons le choix : nous pouvons ruminer inutilement des pensées toxiques jusqu'à épuisement ou nous pouvons utiliser des outils qui font partie de l'hygiène de vie : la respiration, la relaxation, la méditation, la marche, la musique, une occupation agréable. On  peut aussi se changer les idées : se mettre à compter, regarder une fleur, observer un chat qui s'amuse, etc. Il est préférable de se libérer l'esprit plutôt que de ruminer des émotions qui peuvent devenir dévastatrices.

Un petit peu d’introspection pourrait peut-être aussi nous éclairer. Il faut tout d'abord se demander si la faute qui nous cause du tort est pardonnable selon nos valeurs. Si oui, sommes-nous prêt à pardonner? Ensuite, on doit tenter de comprendre l'émotion qui est à la source de la rancune. On s'est senti trahi? Ridiculisé? Abandonné? Traîne-t-on une vieille blessure depuis l'enfance ou depuis une relation passée? Finalement, il faut admettre sa part de responsabilité, si petite ou grande soit-elle.

S’exprimer directement et clairement à la personne qui est la source de notre rancune pour lui dire tout ce que l’on a sur le cœur (les raisons de notre colère, notre sentiment d’injustice, le tort causé). On peut en sortir grandi avec une telle démarche, mais cela peut aussi déboucher sur un affrontement pénible d'où on sort blessé. Bon, ça n’a pas marché de parler à la personne ou  c’était impensable de lui exprimer quoi que ce soit… Écrire à la personne (pas obligé de donner la lettre) peut s’avérer très bénéfique, car le but n’est pas nécessairement de vous réconcilier, mais d’être en paix avec vous-même.

Pardonner. Plus facile à dire qu’à faire. Le pardon est pourtant indispensable pour évacuer la rancune. Cette attitude exige de votre part un abandon de votre ressentiment et de votre désir de vengeance. Méditez sur les raisons de votre colère, sur le mal que ce sentiment vous cause. Si vous voulez renouer avec la personne qui vous a blessé, exprimez-lui votre pardon, oralement et physiquement, avec une accolade par exemple. Toutefois, il faut que ce soit un pardon sincère. Si vous évoluez dans la vie ou si vous êtes en mesure de voir évoluer l’autre qui a été la source de cette rancune et que vous vous rendez compte, après tout, que ça ne valait pas toute cette rancune, parce que l’autre a changé, s’est amendé ou tout simplement parce que vous ne voyez plus la situation du même œil, justement parce que vous avez cheminé… alors, là, oui, le pardon est plus facile et plus réel et il efface pratiquement toutes les blessures infligées par cette situation ou à tout le moins, vous mettez un baume sur vos plaies.

Mais si la situation qui a provoqué cette rancune est tellement grave à vos yeux, qu’elle ne peut être oubliée, vous devez reconnaître ce sentiment de colère qui vous habite et apprendre à vivre avec sans être pour autant continuellement blessé, attristé, découragé, dégoûté, peiné… il vous faut essayer de changer la perspective, vous devez lâcher prise pour votre santé et celle de votre entourage.

La personne rancunière est une autre personne, vous sentez qu’elle a du ressentiment à votre égard et vous désirez que cela cesse. Faites les premiers pas, autorisez-la à vous dire des choses désagréables sur votre comportement… Vous devez aussi être capable de dire ce que vous-même pensez de votre attitude, de manière sincère et authentique.

Si vous vivez avec une personne rancunière, tentez le jeu[3] du sac de sable : une fois par mois, il s’agit de tout se dire, surtout le plus pénible, pendant deux minutes et quinze secondes. Puis de rester fâchés pendant trois minutes et sept secondes. Ainsi, on vide son sac, et le sable s’écoule…

Pour terminer un petit exercice[4] pour aider à contrôler des émotions violentes ou négatives ressenties à n'importe quel moment, même en méditation.

Fermez les yeux et respirez profondément pendant quelques minutes. Lorsque vous vous sentirez calme, imaginez que vous tenez un gros caillou, une pierre ou un cristal dans votre main. Elle représentera votre " pierre à soucis". Quelles sont sa couleur et sa texture?

Amenez à l'esprit l'émotion négative que vous souhaitez contrôler ou éliminer.

Imaginez que cette émotion voyage le long de votre bras, à travers votre main jusqu'aux doigts, et finalement dans la pierre qui l'absorbera.

Visualisez la pierre en train d'absorber toutes les pensées qui déclenchent une réponse négative en vous. Laissez la pierre s'imprégner de ces pensées jusqu'à ce que vous sentirez qu'elles ont disparu et qu'elles ont cessé de vous troubler.

Lorsque vos pensées et émotions se seront éloignées, imaginez que vous lavez la pierre pour la rincer. Par cette action, vous vous déchargez de l'énergie négative de vos émotions.

Conclusion

La meilleure solution demeure toutefois la prévention : prendre ses sentiments et ses émotions au sérieux, les considérer comme des indices importants et en tenir compte pour choisir ses actes. En s'inspirant de ces trois principes, on s'assure de mener une vie psychologiquement saine et, par conséquent, de ne pas s'enliser dans des problèmes qui iront en s'aggravant. Cet effort de conscience nous permet de nous réajuster rapidement lorsque nous nous trompons et nous aide à percevoir plus clairement nos succès. De cette façon, nous permettons à nos émotions de jouer leur véritable rôle, celui de guide sûr vers la satisfaction de nos besoins les plus importants et la réalisation de nos aspirations, même au quotidien.

Nous ne pouvons changer notre passé mais nous pouvons toujours changer notre présent et répondre aux besoins qui nous habitent actuellement, pourvu que nous acceptions de repenser notre façon de voir et de choisir les moyens d’y parvenir.

La satisfaction de nos besoins les plus importants n’est pas un droit mais le résultat que nous obtenons en faisant des choix éclairés et en les appliquant habilement dans des actions concrètes. L’expérience qui vient avec l’âge peut servir à mieux faire ces choix. Et il faut avoir en tête que nous sommes capables de beaucoup plus que nous ne le croyons.

Vivre cette tranche de vie d'une façon satisfaisante, enrichissante ou même épanouissante, n’est-ce pas ça que nous désirons vraiment?

Références

Larivey, Michelle, psychologue, La puissance des émotions, Editions de l’Homme, 2002.

Martel, Jacques, Le grand dictionnaire des malaises et des maladies, p.267.

Larousse Le Grand Dictionnaire des Synonymes et Contraires et Larousse Pratique. Editions Larousse.

http://aaarc.ifrance.com/universite-rose-croix.html

http://definition.ptidico.com/rancune.html

http://www.1001nuits.org/index.php?title=Rancune_et_perfection

http://www.canalvie.com/nouvelle/822/

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2002021300

http://www.redpsy.com/guide/rancune.html

Citations

À travers le lâcher prise, la paix intérieure émerge du plus profond de nous-même, rayonne à travers nous et c'est tout notre environnement qui entre en résonance avec cette paix. (Totem)

Aucun homme ou aucune femme ne saurait, en conscience, se rendre délibérément malheureux. Personne ne choisirait de souffrir. Pourtant, nous nous infligeons tous des souffrances quand nous cédons à un mouvement de colère ou à des moments de dépression ou d'angoisse. Il n'y a aucun doute que la peur et l'inquiétude affectent tous les secteurs de notre santé physique et mentale. Les personnes intelligentes et conscientes ne se causeraient jamais volontairement de préjudice, pourtant c'est précisément ce que nous faisons chaque jour de notre vie, d'une manière ou d'une autre. Guy Fainley

Aussi longtemps qu’on médite sa vengeance, on garde sa blessure ouverte. - Thomas Fuller

Celui qui s'applique à la vengeance garde fraîches ses blessures. - Francis Bacon

La haine n'est-elle pas aussi douloureuse que l'amour ? Celui qui déteste son semblable s'enchaîne à sa rancune, se fait prisonnier de son ressentiment. Il n'est plus un être libre. Jeannette Massie

La pire chose à transporter: la rancune. Auteur inconnu

La rancune entretient la haine qui ne peut aboutir qu'à : la guerre ; au meurtre ou bien, poussé au paroxysme, à sa propre destruction. Auteur inconnu

La rancune est la plus grande voleuse de temps à l'amour. Auteur inconnu

La rancune est une espèce de fidélité empoisonnée où l'offensé noue des liens indissolubles avec l'offense et l'offenseur. Et quand elle cesse d'être une passion, elle devient une habitude et un devoir: exactement comme le mariage. Gustave Thibon

La rancune est une maladie qui ne pardonne pas. Evitez donc de l'attraper !! Guy Bouzoune

La rancune fait partie des plus grands fléaux de l'esprit qui ne conduisent qu'à une vie psychologiquement malheureuse. Auteur inconnu

La rancune n'est que la preuve de la faiblesse. Jiang Zilong

La rancune ronge celui qui la ressent et le prive d'une amitié possible. Auteur inconnu

Oubliez vos rancunes. Pendant qu'elles vous tiennent éveillé la nuit, vos ennemis, eux, dorment sur leurs deux oreilles. Auteur inconnu

Pour vivre heureux, il faut vivre sans rancune. Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra

Quand on a une dent contre quelqu'un, il est inutile de mâcher ses mots. – Pierre Perret

Quoiqu'il en dise, et à son insu, l'homme garde toujours au fond de son coeur un reste de rancune envers celui qui lui a fait du mal, même s'il est bien convaincu qu'il n'en est rien. Adrien Therio

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