dimanche 7 novembre 2010

La survictimisation...

“Survictimisation” quand on ajoute du mal au mal
La cicatrisation est d’autant plus difficile en cette période charnière de la vie. Pour ces enfants, la question de l’intentionnalité chez des agresseurs par exemple dans la violence entraînent des tortures psychiquement et durablement. Ils en viennent ainsi à se questionner, à se torturer et à se demander : “Pourquoi moi ?” Alors, quelle reconstruction ? Elle est possible et plus rapide s’il n’y a pas de “Survictimisation”, notion de psychologie qui s’explique notamment par l’ajout de mal au mal. Notamment à cause d’attitudes qui visent à montrer du doigt la victime ou à trop remuer le couteau dans la plaie. Désigner la victime comme responsable de cette situation ou la mettre au centre d'un profit. La survictimisation peut aussi être un outil pour certains militants afin de revendiquer des fonds publics sur cette base . Dans tous les cas, la reconstruction dépend énormément d’un contexte et d’un environnement sain et la confrontations des symptômes doit obligatoirement se faire en cabinet professionnel. la place accordée aux victimes doit être observées par les institutions. La vie pathologique ne doit pas être divulguée sur la place publique et dépends du secrêt professionnel du thérapeute et du malade.L'abus de personne peut exister si la victime est d’emblée fragilisée , surtout si elle est en suivit thérapeutique. Le statut de victime est utilisé par une certaine pression médiatique, manipulation à des fins politiques. Le but Honorable en revient aux victimes elles-même, mais en aucun cas à un parti politique, ou ni même à des convictions personnelles du même ordre de certains proches. Le but est de se reconstruire et ce qui a été anéanti ou bafoué entraîne une déception de plus... , une épreuve en plus..., un nouveau fardeau...,alors attention à laisser les gens se soigner.
Articles et extraits Astrid Junius 2011

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